Un romancier journaliste

Il aimait bien ce parc .. il observait les gens ce qui lui permettais ecrire ses romans que personne ne lisait à part sa soeur...... la vie est une très bonne inspiration......
Mais un jour il rêvait d'être publier. il venait de finir une serie d'article sur la dynastie royale anglaise avec ses joies ses peines et ses trahisons pour son journal "La Tamise".

Cela avait était un succée et augmenter le niveau des ventes du journal le directeur était content de lui mais il attendait plus maintenant il était decidé .. de faire un article sur le nouveaux scandale de ma sociétée des chemin de fer.

Mais pour l'instant il se reposait et observait un de ses loisirs préferé entre autre.

La jeune femme errait sans vie depuis la mort d'Alexandre. Sa mère, cette brave femme, lui avait demandé de sortir un peu pour se rafraichir. Alice avait donc pris son ombrelle et son châle pour sortir.

Leur cocher l'avait emmené à Hyde Park. Peu de monde se trouvait ici en ce début d'après midi. La vie était calme et monotone, mais le coeur d'Alice était en plein désordre.

Les petits gravillons des sentiers crissaient sous ses bottines noires. La jeune femme releva un peu sa longue robe noire et fit quelques pas sur l'herbe. Le vent soufflait doucement dans ses boucles blondes.

Elle s'était souvent promenée ici avec Alexandre, et le simple fait de se retrouver à Hyde Park, sans lui, perla sa joue de quelques larmes. Alice était une véritable mort vivantes parmis ce monde.

Alice laissa tomber son ombrelle sur le coté de sa robe, ne craignant pas de voir sa peau blanche devenir basané, surtout avec le soleil de Londres.

C'était rare de voir Londres ensoleillé. De gros nuages blanches flottaient mollement dans le ciel azuré.

Alice revint sur les graviers et fit encore quelques pas vers un banc. Son mouchoir en dentelle s'échappa de sa poche sans qu'elle s'en rendit compte. La jeune femme s'installa sur un banc, les yeux perdus dans le vague...

Dylan avait remarquer cette jeune femme qui avait l'air complêtement perdu dans ce parc...
*Pourquoi ? elle doit avoir caché un grand désespoire en elle* se dit Dylan

Elle ressemblait à une femme sans âme qui errait dans le parc presque un fantôme. Oui elle lui faisait penser à un fantôme...Elle était pâle elle ne collait aps du tout avec le tableau de ce parc... elle était étrange voila le mot qu'il cherchait pour la décrire

*étrange et triste et très triste....*

Dylan l'observa mais elle s'avançait vers lui sans le voir, sans voir ou elle était sans doute. Elle était toute proche maintenant Dylan voyait ses yeux ils étaient rouges et humides des larmes était encore sur ces joues ... quel malheur portait cette jeune femme en elle .... une si jeune femme, si triste....

Elle perdit son mouchoir et ne le remarqua même pas.
et elle s'assit sur le banc sans le voir... ellle était dans son chagrin. Dylan en était triste pour elle.
Il se leva et alla ramassait son mouchoir. Mais la jeune femme avait toujours l'aire perdu dans sa tristesse.

Dylan s'approcha d'elle et se baissa vers elle et lui dit en lui tendant le mouchoir

"Mademoiselle vous venez de perdre votre mouchoir et je crois que vous en avez besoin pour secher vos larmes. Je ne sais pas quel malheur vous attriste a ce point mes vos larmes sont pures. Votre chagrin doit être énorme."

Alice, assise sur le banc frais, n'avait pas entendu approcher le jeune homme. Sa voix pure et calme la fit sursauter.

Elle tourna rapidement la tête dans sa direction, faisant voler ses boucles blondes autour de son cou. Ses grands yeux verts noyés de larmes jetèrent un regard surpris à l'inconnu.

Le jeune homme lui présenta son mouchoir. C'était celui qu'elle avait dans sa poche.

Elle tendit une main blanche et douce pour attraper le mouchoir, ne lachant pas des yeux le galant homme.

Sa voix mourait dans sa gorge. Son chagrin était tellement grand que ses larmes l'empêchaient de parler. Elle réussit néanmoins à articuler un faible:

"Merci... Je vous remercie..."

De ses lèvres vermeilles s'échappaient de tristes remerciments. Pour se faire pardonner de son état, Alice tenta de sourire au jeune homme.

Un mince trait, évoquant un timide sourire apparut sur ses lèvres. La jeune femme baissa la tête en rougissant de son comportement.

Alice inspira une profonde bouffée d'air frais, et dit d'une voix douce:

"Asseyez-vous Monsieur, ne restez pas debout...je vous prie..."

Il était ému par la situation et tellemnt gêné

"Non essayez pas de sourire,et n'ayez pas honte je comprend vous ayez du chagrin, n'essayez pas de cacher votre tristesse dérrière ce sourire je respecte votre tristesse...je repecte votre chagrin .. il n'y a que la perte de l'amour qui peut vous rendre si triste....si je ne me trompe pas."

Il regarda ses grands beaux yeux vert tristes il aurait tant avoir voulut avoir les mots qui reconforte comme les héros de ses romans... mais lui il était incapable de leur ressembler .. il était un simple journaliste....

"Vous devez beaucoup souffrir"

Avec sa voix douce et elle l'invita à s'asseoire.. mais Dylan ne savait comment réagir...

"Mais je veux pas vous déranger Mademoiselle, mais si vous désirez que je reste aupres de vous sur ce banc il n'y a aucun inconvénient et si je peux faire quelque chose pour vous j'en serais heureux de vous enlever un peu de ce chagrin qui vous ronge... mais je comprendrais très bien si vous voulez rester seule..."

Alice secoua la tête en signe de négation et ajouta:

"Non, non, vraiment vous ne me dérangez pas, puisque je vous propose de vous asseoir... Au fait, je m'appelle Alice Mancherrow.. et vous?"

La jeune femme n'aimait pas les conventions de la société, et encore moins le nom sanglant que son père lui avait donné. Mais elle ne pouvait l'effacer, et cela resterait gravé à tout jamais sur ses origines.

Elle repoussa son ombrelle pour faire de la place à l'inconnu et d'un petit geste de la main l'invita à s'asseoir.

Dylan n'insista pas et s'assit prés de la jeune femme.

"Enchanté Mademoiselle Alice Mancherrow...Moi c'est Dylan Conan petit journaliste de "La Tamise" c 'est un petit journal de Londres, et romancier raté... voila...Mais appellez moi Dylan cela suffira"

Dylan avait pas l'habitude de se présenter... il se trouvait stupide dans ce qu'il disait même... mais pourquoi il ne pouvait pas ecrire avant de parler....

"je peux faire quelque chose pour vous car vous avez l'aire si triste.. je suis vraiment embêter de vous voir noyer dans votre chagrin... comme ça.. j'ai l'impression d'être impuissant pour pouvoir vous aider....."

Il lui sourit pour toucher un peu son coeur si malheureux.

Alice esquissa un discret sourire à la présentation de Dylan. Elle dit d'une voix douce et amer:

"Les romanciers ratés n'existent pas, ce sont simplement des gens qui n'ont pas eu leur chance..."

La jeune femme repoussa quelques mèches blondes et regarda Dylan:

"Je connais les journaux de Fleet Street... Il me semble qu'Alexander lisait votre journal..."

Son coeur se serra cruellement quand elle prononça le nom de son bien aimé. Quelle erreur de croire qu'il était encore là... Cela la rendait plus malheureuse de jour en jour...

Alice serra entre ses longs doigts blancs son mouchoir de dentelle. Elle soupira et dit d'une voix désolée:

"Je m'excuse de vous déranger ainsi, et il est cruel de vous retenir auprès d'une femme en deuil... Pardonnez moi..."

La jeune femme se leva, et saisit son ombrelle. Elle se tourna vers Dylan et lui répliqua:

"J'ai été ravie de vous connaître... Mais ne m'adressez plus la parole, je porte malheur aux gens que je cotoie..."

Alice prit les pans de sa robe en crinoline et tourna les talons vers sa calèche..

*Pourvu qu'il ne me suive pas... Je ne veux pas d'un nouveau mort sur mon nom...*

Dylan voulut la retenir
"Mademoiselle Alice je risque rien, j'ai jamais eu de chance dans ma vie donc vous ne pouvez pas me porter plus de malchance..."

Mais il savait qu'il n'avait aucune chance de la retenir il n'etait pas du même monde lui un petit journaliste ; elle une grande dame d'une grande famille d'Angletere...Il n'y avait aucune chance qu'il ne se rencontre à nouveau. Mais ses paroles l'avait intrigué .. c'etait comme dans un roman....

Il se leva et la rattrapa
"Mademoiselle je vous laisse ma carte au cas où ?"

Bien qu'il savait qu'elle ne prendrait pas contact avec lui. Elle avait des connaissances beaucoup plus importantes que lui.

"Courage Mademoiselle" dit il en se retournant et partant de s'eloignant d'elle

Alice se retourna, et prit entre ses doigts la carte de visite de Dylan.

Elle le remercia doucement dans un sourire:

"Merci beaucoup Mr Conan, mais je n'en ai pas besoin... Nos routes se recroiseront très prochainement... Vous pouvez me croire..."

La jeune femme rangea néanmoins la carte dans son moouchoir et monta dans sa calèche. Confortablement installée sur les sièges de velours, elle salua d'un discret signe de la main Dylan.

La calèche demarra et repartit vers le Manoir Mancherrow...

Dylan restait perplexe sur les dernière paroles de la jeune femme. Il ne comprenait pas ...
*Nos routes se recroiseront très prochainement.. j'en doute mademoiselle ...*

Mais pourquoi lui avait -elle dis ça... c'etait un pur hasard... cete rencontre.. Il se posait plein de question et refusait de croire qu'elle l' avait manipulé pour se servir de lui?Mais pourquoi ?
Cete phrase le fit frissoner de tous ses membres

Il n'était pas bien il revint s'asseoir sur le banc et se mit à réfléchir mais il était mal à l'aise....